Après avoir décidé d’émigrer de Norvège, j’ai été en quête d’une ville sur la côte près de Brest où je pourrais d’avoir envie de m’installer. Quand j’ai visité Le Relecq-Kerhuon en septembre 2009, la ville m’a plu tout de suite, mais on ne prend bien sûr pas spontanément une décision si importante.
Ma deuxième visite au Relecq-Kerhuon était le 14 août 2010 quand j’ai assisté au Pique-Nique Kerhorre à Camfrout avec mes enfants et des amis. C’était une soirée conviviale et magnifique, le spectacle du tango de feu de la compagnie Bilbobasso était magique.
Quelques jours plus tard nous avons sillonné la ville à pieds. Nous nous sommes promenés sur le chemin le long de l’Anse et ultérieurement sur la Corniche. Les traces de la marée et l’odeur de goémon, cela me plaît toujours quand j’y fais mes promenades quotidiennes.

Après un séjour de quatre semaines au Relecq-Kerhuon en 2011, je m’y suis installée définitivement en septembre 2012.
Étant nouvelle habitante, j’apprécie beaucoup tous les événements culturels où on a la possibilité de faire la connaissance d’autres habitants, comme par exemple les Pique-Niques Kerhorres ou les ateliers participatifs à la Médiathèque François Mitterrand.

Je me sens à l’aise au Relecq-Kerhuon, et je trouve que le maire Yohann Nédélec et son équipe de « L’Union pour le Relecq-Kerhuon » ont bien géré notre ville.

Quoi qu’en disent les membres de la liste « Vert Le Relecq-Kerhuon », moi, j’ai fait des expériences que Le Relecq-Kerhuon, c’est une ville verte !
Je me promène sur les sentiers le long des talus, sous les grands arbres dans le bois de Keroumen ou au Bois de Sapins. Et autour de la prairie humide de Lossulien où j’ai si souvent pu observer le héron cendré.

Les balades en ville font aussi plaisir toute l’année car dans les jardins on trouve toujours des plantes en fleur et des oiseaux.
Je ne comprends pas du tout l’affirmation de Marie Quétier, tête de liste de « Vert Le Relecq-Kerhuon » , qui parle des massacres « à la tronçonneuse au Relecq-Kerhuon où on n’aime décidément pas les arbres » et où les « insectes et les oiseaux sont priés d’aller nicher ailleurs. » (1)
A mon avis notre ville mérite mieux que les politiciens qui peignent tout en noir.
J’ai aimé lire que la tête de liste « Marchons pour Le Relecq-Kerhuon », Jean-Marie Fourmantin, a comme moi une opinion positive de notre ville d’adoption. Il s’exprime en ces termes sur le site de la liste :
« Après avoir vécu 7 ans à Sibiril (Finistère), je suis arrivé au Relecq-Kerhuon en janvier 2014. Je me suis tout de suite pris de passion pour notre commune, havre de paix et de bien-être. » (2)
Evidemment d’accord, Le Relecq-Kerhuon est une ville où il fait bon vivre !

Jean-Marie Fourmantin et les candidats de sa liste ont bien sûr des propositions pour l’avenir de notre ville. Mais ses mots ne peuvent être qu’une reconnaissance du travail qu’ont fait le maire Yohann Nédélec et son équipe de « L’Union pour Le Relecq-Kerhuon » au cours des douze dernières années.
Ayant la nationalité norvégienne, je n’ai pas le droit de vote aux élections municipales en France, mais j’espère que Le Relecq-Kerhuon sera pour six nouvelles années gouvernée par la majorité de « L’Union pour Le Relecq-Kerhuon », menée par Laurent Péron.
